Nous aurons à gagner, collectivement, si les futurs citoyens apprennent à prendre part aux délibérations qui mènent à l’application de règles régissant les espaces communs.
Les accompagner pour le faire, c’est miser sur le développement de leur AUTONOMIE et de leur PENSÉE CRITIQUE.
Il y a lieu de croire que mis au service du bien commun, ces deux atouts intellectuels contribueront au développement de citoyens capables de réfléchir aux normes dont s’est dotée leur société, de continuellement tenter de les améliorer et d’orienter leurs actions en fonction du bien-être collectif.